Dans ce deuxième mouvement de la Symphonie fantastique, Berlioz décrit un bal qu’on distingue d’abord au loin. Les cordes frémissent et des arpèges de harpes s’envolent de l’orchestre.
Un crescendo illustre l’entrée dans le bal, suivi d’une gamme descendante de la harpe qui introduit la danse.
Avec ce rythme de valse, Berlioz, qui adorait danser, recrée les ambiances joyeuses des fêtes de son enfance puis des grands bals parisiens. La mélodie irrésistible accompagne les pas virevoltants des danseurs.
Ah, Berlioz me fait triper !